de et avec le 

Duo Soham

Françoise Carret &

Geetha Baburaj

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Oudaya (l’Aurore) est une création contemporaine inspirée du Bharata Natyam où les cultures se rencontrent et communiquent dans l’acte scénique.

 

Né en Inde de découvertes approfondies de la danse et du théâtre traditionnels, le duo Soham s’inscrit dans une forme encore inexplorée de création, métissage de cultures à partir d’un langage chorégraphique fusionnant danse mime et théâtre.

Inspiré de la structure traditionnelle d’un récital « Margam », où alternent évocations poétiques des émotions humaines et séquences rythmiques aux frappes de pied élaborées, le spectacle garde dans sa succession une pièce traditionnelle et un hommage au sacré, mais il est surtout résolument novateur. Oudaya efface les frontières et bouscule les à priori. Sur des musiques indiennes ou occidentales (Tchaïkovsky, Bizet) une riche palette d’émotions vient interroger notre rapport à l’autre.

Françoise Carret

interprète des chorégraphies de

Padma Subrahmanyam

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En Sanskrit, Bhakti signifie Dévotion.

En Inde, la dévotion, individuelle ou collective n’est pas un sentiment censuré par l’histoire sociale : elle est vécue, exprimée dans l’espace public par tous les acteurs et irrigue tous les aspects de la vie sans jamais être déconnectée des gestes quotidiens.

Le fil conducteur du récital c’est le rasa bhakti, l’état dévotionnel. Les pièces dansées narrent des histoires aux références fortes : l’épopée du Ramayana, la geste de Krishna, les récits shivaïtes. Elles sont aussi l’expression des sentiments que la danseuse vit à travers sa danse.

Solo

Françoise Carret

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sur des musiques occidentales et indiennes

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Comment deux cultures se rencontrent-elles ? A l’Est l’Inde, à l’Ouest le Sud de la France. Associant musique et danse indienne à de la musique du Nord Méditerranéen, parfois même symphonique, le récital évolue progressivement vers la rencontre de deux cultures et témoigne de la créativité propre à la danse indienne.

Sur le registre de la vie dite “profane” ou parfois “légère” avec ses fêtes populaires et ses carnavals et sur celui de la sphère sacrée, tout n’aspire finalement qu’à un seul et même but à travers la Célébration.

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